Fiche terroir
Pays bigouden -
Bro vigoudenn
Cornouaille
Rédacteurs
Fiche rédigée en 2021 par Solenn
Boënnec, Gwena Merrer, Gwenn
Richard et Rozenn Tanniou
Pages associées
Communes du pays bigouden
Plozévet
Pouldreuzic
Plovan
Tréogat
Tréguennec
Saint-Jean-Trolimon
Plomeur
Penmarc’h
Le Guilvinec
Treffiagat-Léchiagat
Plobannalec-Lesconil
Loctudy
Pont-l’Abbé
Combrit-
Sainte-Marine
L’Île-Tudy
Tréméoc
Plonéour-Lanvern
Peumerit
Plogastel-
Saint-Germain
Landudec
Le terroir
« Vingt communes forment le pays bigouden, ce vieux Cap Caval qui bande son arc face à l’océan. Quinze d’entre elles, forte proportion, poursuivent un dialogue millénaire avec les vagues. Plozévet, Pouldreuzic, Plovan, Tréogat, Tréguennec, Saint-Jean-Trolimon, Plomeur, Penmarc’h, Le Guilvinec, Treffiagat, Plobannalec-Lesconil, Loctudy, Pontl’Abbé, Combrit-Sainte-Marine, L’île-Tudy, elles sont nombreuses les communes au pied marin, en partie bercées par les marées, présentant un rivage, un visage, en front de mer. Certes, l’ouverture est parfois de bien faible envolée et quelques-unes d’entre elles, au nord principalement, s’avèrent essentiellement rurales. Il n’empêche ! Leur territoire s’ouvre sur la mer, tout change.
La mer, frontière de l’ouest, frontière du sud. La mer, en son âpreté, fonde le pays bigouden. À l’est, la rivière, l’Odet et l’anse de Combrit, avec le ruisseau du Corroac’h venant du nord. Tout est simple quand l’eau, salée ou non, marque les limites.
Vingt communes forment le pays bigouden, dont cinq qui s’enfoncent dans les terres, sans ouverture marine. Tréméoc, Plonéour-Lanvern, Peumerit, Plogastel-Saint-Germain et Landudec. Là, au nord, la frontière est incertaine. Bien sûr, de l’anse de Combrit aux abords de Saint-Honoré, il est facile de suivre la lisière. La rivière guide les pas. Mais de Kerdalem ou Keraël en Plonéour jusqu’à Rulann en Plogastel, la marche est hésitante, suivant des limites communales rarement évidentes. Des champs, un petit ruisseau, rien de bien net, rien d’éclatant. Mais où donc s’arrête, et où donc commence le pays bigouden ? Voici le Goyen, tout là-haut, pour éphémère extrémité septentrionale. Mais le Goyen n’est pas le Rhin, loin s’en faut. Tout juste un ruisseau quand il prend son élan, trop petit pour délimiter un pays. Quand il quitte Landudec, au pied du Créac’h Voyen le bien nommé, et qu’il prend ses aises, il s’enfonce dans le Cap Sizun s’éloignant sans un regard d’un pays bigouden qui s’arrête, là, aux confins de Plozévet, aux pieds d’une statue de Quillivic, aux bords de l’océan.
Les pays sont les fruits de l’histoire autant que de la géographie. Savant mélange illustré par le pays bigouden, ce cap aux limites incertaines. À l’ouest, au sud, une limite s’impose, sans débat, sans appel, frontière d’évidence : la mer. La géographie dicte sa loi et on ne la discute pas.
Au nord, des franges souvent floues, se rassurant seulement en trouvant le lit de quelques ruisseaux. Regardons la carte.
Deux évitements apparaissent comme deux craintes. Quimper d’abord, au nord-est. La grande ville, la capitale. Un autre monde. Plonéis, Pluguffan et Plomelin seront terres de séparation.
Ensuite, au nord-ouest, Pont-Croix et l’embouchure du Goyen. Pont-Croix, longtemps rivale de Pont-l’Abbé. Deux ports de fond d’estuaires. Deux marchés. Deux villes centres qui tentent de structurer un territoire. Entre elles, comme entre deux aimants, se dessine et fluctue une frontière incertaine, humaine, essentiellement héritée des hasards, des volontés, des hésitations, des rapports de force des générations qui se sont succédé… Là, c’est l’histoire qui décide et la géographie s’incline.
Au fait, le pays bigouden existe-t-il ? Question insolente. Administrativement, à l’époque féodale, le sud du pays dépend de la seigneurie du Pont, ce Pont-l’Abbé, déjà capitale. Le nord est sous l’influence de la seigneurie de Pont-Croix. Deux ponts, deux pays. Deux foires, deux marchés. Deux vies. Aujourd’hui encore, deux communautés de communes structurent la presqu’île. L’une déborde des frontières et s’adjoint au passage Gourlizon, Plonéis et Guiler-sur- Goyen, l’autre au sud, contre les flots.
Ainsi le pays bigouden existe-t-il sans être officiellement reconnu. Le fait est d’évidence quand on sait combien les limites, les frontières sont d’importance.
Le nom « pays bigouden » est récent, on le sait. Il y a bien longtemps, on parlait de Cap Caval. C’était au temps médiéval, quand l’influence maritime, l’ouverture au large, l’ouverture au monde et à tous ses ailleurs, l’emportaient. C’est semble-t-il en 1833 que le mot « bigouden » apparaît. Dans un article du journal Le Finistère, en date du 27 juin 1833, un journaliste relève : « des coiffes rondes, à fond rouge et surmontées d’une pointe nommée bigouden, simulant, dit-on, le clocher de leur paroisse. »
Jean-Michel Le Boulanger
Principales familles de danses
La suite réglée à trois termes
• la gavotte
• le deuxième terme (aller-retour)
• le dernier terme (rondes à permutation)
La suite se termine parfois par une ou plusieurs dansesjeux : stoupig, jibidi, lostig al louarn.
Cortège de gavotte et couple de sonneurs en pays bigouden, vers 1900. Collection particulière
Les rondes à trois pas
Les rondes à trois pas font partie du répertoire dansé des Bigoudens comme pour nombre de populations de front de mer, en Normandie ou bien en Vendée. Contrairement à la gavotte, elles étaient majoritairement accompagnées au chant.
La gavotte d'honneur
Si la danse est évoquée par Jean-Michel Guilcher en pays bigouden, elle n’était fort probablement pas celle connue aujourd’hui sous cette appellation puisque plusieurs témoignages concordants évoquent une danse inventée dans les années 1950.
Ronde à trois pas, Penmarc’h, vers 1890. Collection Musée Bigouden
L’accompagnement musical
Si nous considérons aujourd’hui le couple de sonneurs - bombarde biniou kozh - comme traditionnel en pays bigouden, force est de constater que ces musiciens y on toujours été avant-gardistes, modifiant très tôt, dans le mitan du XIXe siècle, la perce de leurs instruments afin de s’adapter aux modèles musicaux dominants. Il en va de même de leur répertoire, se détournant rapidement des airs chantés sur le territoire pour aller piocher à l’envi, encore une fois, dans les répertoires citadins. Forts de cela, modernes tant dans les airs que dans les gammes, ils vont se permettre de développer un style ornementé, exigeant et complexe.
Rock star sur le territoire, les sonneurs vont balayer les chanteurs. Reste à savoir à quelle période. Est-ce déjà dans la seconde moitié du XIXe siècle ou lors de l’une des fractures sociétales du XXe siècle ? Si Yann Kaourintin Ar Gall a relevé le monde de la musique sonnée en pays bigouden, le chant n’en est que davantage tombé dans l’oubli. Les collectes de chants menées par Marie-Aline Lagadic et Klervi Rivière notamment ont permis la préservation d’une certaine pratique. Celles moins médiatisées, menées par René Hénaff dans les années 1950 dans le nord du territoire, méritent à ce titre toute notre attention. Témoigneraient-elles de l’état de la gavotte chantée en pays bigouden avant son grand oubli ? Témoigneraientelles d’une gavotte chantée résiduelle, en tout point comparable à ce qui se chantait encore dans le Kreiz Breizh ?
Couple de sonneurs bigoudens, Jean-Marie Hénaff au biniou, 1932, Loctudy. Collection particulière
Le costume
État du vêtement bigouden De gauche à droite : - Bourdin, 1843 - vers 1925, couple de mariés - vers 1950, couple de mariés
Collection Musée Bigouden
Au XVIIIe siècle, il est fait mention de la coiffe de Pont-l’Abbé comme étant différente de celle des territoires voisins. Laissant voir les cheveux, sur l’arrière notamment, elle reste de ce fait tout à fait singulière à l’échelle de la Bretagne.
Tout au long du XIXe siècle, la structure de la coiffe bigoudène fluctue. Sa structure et son bonnet sous-coiffe en font également une coiffe atypique.
À la fin du XIXe siècle, la broderie s’étend sur la visagière, sur la pièce arrière (taledenn) et enfin sur les lacets à partir de 1900.
La coiffe atteint sa hauteur maximale au moment de la Seconde Guerre mondiale, près de 37 cm.
Le vêtement bigouden est tout aussi remarquable par sa coupe, ses matériaux et son ornementation.
Chez les hommes, le pantalon à pont est à la mode dès les années 1830, contrairement aux voisins Glazig où le bragoù bras restera en utilisation bien plus tardivement. Le gilet est long, sans manches et à double boutonnage. Il est couvert au XIXe par une veste très courte, à manches longues. Elle sera remplacée progressivement par une veste longue à double boutonnage puis par une veste de ville. Le chapeau est également particulier : bords ronds et étroits, ornementé de trois rubans de velours qui s’élargiront au fil des années.
Pour les femmes, deux types de gilets coexistent au XIXe siècle : un gilet simple à double plastronnage et un ensemble corselet/gilet. Les manches repliées laissent place à une ornementation qu’elle soit au velours, à la soie, au ruban ou à la broderie.
De même pour les jupes qui se terminent par une ornementation, à l’image des manches. Cette bande s’élargira également entre les années 1880 et 1930. Le tablier rectangulaire, simplement froncé à la taille et rehaussé d’une bande dans sa partie basse au XIXe siècle, se complexifie avec l’ajout d’un empiècement en pointe à la taille dès la fin du XIXe siècle.
État du vêtement bigouden vers 1870. À droite, présence des deux types de gilets féminins. Collection Musée Bigouden
La broderie
Les brodeurs bigoudens n’ont eu de cesse de mettre la broderie au goût du jour, tant par les matériaux utilisés, que par les motifs ou les coloris. Au début du XIXe siècle, la partie brodée des gilets tant féminins que masculins est très étroite. Les motifs sont des modèles français courants, paniers, palmettes, soleils, motifs floraux, de même que la technique de broderie. L’esthétique « bigoudène » est déjà en place avec ses quatre rangées.
État de la broderie bigoudène dans les premières années du XIXe siècle, gilet masculin, Collection Musée Bigouden
État de la broderie bigoudène vers 1830/40, fragments de gilets masculins. Collection Musée Bigouden
Sur la période 1830-1850, elle change pour une miniaturisation et multiplication des motifs. Ces derniers sont de plus en plus homogènes avec des coeurs, palmettes, soleils, fougères et chaînes de vie. Le vert et le jaune prennent le pas. Lors de la période 1850-1870, les points lancés sont abandonnés au profit des points français de bourdon et de feston. Les motifs se standardisent avec une alternance obligatoire : le soleil et la plume de paon. Entre 1870 et 1890, la tendance est au comblement de l’espace encore libre. En 1900, le spectre des couleurs se réduit à l’ocre et orangé. La broderie et les motifs s’élargissent et se stéréotypent. Les derniers grands gilets seront brodés dans les années 1920. Si les hommes ont toujours majoritairement oeuvré au fil de soie sur ces gilets, ce sont les femmes qui se sont attachées à la broderie blanche.
Enclaves vestimentaires
À noter qu’il existe deux enclaves vestimentaires dans le pays bigouden : à Kerity en Penmarc’h où l’on porte la Poch Flak, et à l’Île-Tudy, la Penn Sardin. Il existe également une mode hybride aux frontières du pays bigouden, influencée par les pays limitrophes : la borledenn vrasvihan (Mahalon, Guiler-sur-Goyen, Landudec). On note également des Bigoudènes dites dilasenn, littéralement « sans lacets » dans le nord du pays bigouden.
Les tailleurs-brodeurs bigoudens, des tailleurs avant-gardistes ?
Fins connaisseurs de la mode et ayant le sens du commerce, les tailleurs-brodeurs ont été le vecteur essentiel de la diffusion de nouvelles matières, usages, coupes et techniques. Curieux et « à la page », ils se sont emparés de toutes les nouveautés et matières premières disponibles grâce aux entreprenants négociants pont-l’abbistes. Ils ont ainsi pu développer une mode vestimentaire singulière à l’usage de la communauté rurale, ouvrière et artisane.
Atelier de tailleurs brodeurs, vers 1892, tiré de la publication de Puig de Ritalongi, tous droits réservésEntre 1836 et 1891, les tailleurs multiplient leurs activités et seront aussi marchands d’étoffes, merciers ou cabaretiers. Ils seront entre 70 et 90 à exercer, en fonction des années, à Pont-l’Abbé. S’ils travaillent certainement à domicile pour les habitants des bourgs, bon nombre d’entre eux se déplacent également dans les campagnes.
La concurrence ornementale fait rage tout au long du XIXe siècle ; la broderie évolue en conséquence. Les travaux se spécialisent : certains tailleurs coupent et cousent les vêtements neufs, d’autres les brodent. Une partie de ces artisans autonomes se regroupe en atelier de tailleursbrodeurs. Quelques grandes maisons de broderie voient le jour dans les dernières décennies du XIXe siècle comme l’atelier Pichavant, créé dans les années 1870.
Travaillant aussi bien pour les citadins que pour les autres, les tailleurs-brodeurs bigoudens ont, en conscience, développé une manière de se vêtir, tout aussi « à la mode ».
La kouing, une spécialité bigoudène
Les kouign ont - en plus de la farine de froment, des oeufs, du lait et du sucre - de la levure de boulanger. La pâte est préparée à l’avance et mise au chaud pendant trois à quatre heures, le temps de « monter ». Les kouign étaient mangées comme des crêpes, en repas principal le midi. Si la kouign est inconnue hors du pays bigouden, elle est faite fréquemment sur la côte sud (de Combrit à Pouldreuzic), plus occasionnellement dans les terres aux alentours de Pont-l’Abbé et disparaît au fur et à mesure que l’on se rapproche du nord du territoire.
Kouignen telles qu’elles pouvaient être faites autrefois, elles seront partagées ensuite en quatre.
Elle n’y est cependant pas inconnue, mais ne s’appelle alors plus kouign mais galetez go - ou galette de levure. Sur le reste du territoire, les appellations varient : kouign, kouign yekel, kouign go. Aujourd’hui peu vendues dans les commerces et crêperies, elles sont encore souvent mangées dans le cadre familial et lors d’évènements festifs.
Les kouign plaket, c’est une autre histoire. C’est l’histoire d’un mets presque oublié sur un tout petit territoire, en front de mer, qui débute au Steir à Penmarc’h, passe par Kerity et s’arrête à Saint-Guénolé.
C’est une recette où jamais le métal ni le bois ne viennent se mettre entre la main et la pâte, entre la pâte et la billig ; un usage qui remonte à plus d’un siècle, au moment où l’on pensait que le métal souillait la pâte. Il s’agit presque de la même recette que les kouign, une pâte à crêpe de froment à laquelle s’ajoute de la levure de boulanger, qui va monter plusieurs heures au chaud, mais qui a la particularité d’être ensuite enfarinée à la main. La pâte forme alors une sorte de croûte sur les doigts, croûte qui protègera la peau et permettra de déposer et retourner les kouign directement sur la billig sans se brûler.
Ces petits pains ou kouign - aussi délicieux soient-ils - sont solides, épais et bourratifs. Ils étaient facilement mis dans la poche et partaient ainsi en mer, à l’école, à l’usine et même en Indochine…
Mais l’enfarinage salit la cuisine, la pâte salit les mains et la recette est petit à petit abandonnée à partir des années 1950 au profit des seules kouign yekel - les kouign à la louche. En 2012, il ne restait plus que trois foyers à en faire encore. Suite à des recherches menées par le Musée Bigouden et une certaine médiatisation, la recette renaît de ses cendres. Elle est aujourd’hui enseignée dans la formation professionnelle “crêperie” à Pont-l’Abbé.
Kouign plaket ou kalet, recette redécouverte grâce à Rozenn Tanniou. Collection particulière
Le langaj chon
Le langaj chon n’est pas une langue à part entière, mais un argot, quasi exclusivement pont-l’abbiste, parlé par les hommes (chon signifiant l’homme, il pourrait se traduir par le « langage des hommes »). Il utilise les structures des phrases et la syntaxe du breton, on y remplace seulement un mot par une variante argotique. Par exemple, « kaout broc’h ‘ba dilulez unan bennak », pour « kaout drouk e revr unan bennak ».
En 1893, Puy de Ritalongi écrit : « Pour converser plus à leur aise, les tailleurs, les maçons ont composé chacun un argot dans le breton du pays : la charpente des phrases reste la même, mais tous ou presque tous les substantifs ont subi une modification, et même une substitution absolue. (...) Par une entente générale, chaque corps a adopté, créé ses mots, les a communiqués à ses adeptes et s’est constitué une langue quasi-secrète. » (Les Bigoudens de Pont-l’Abbé et les pêcheurs de Penmarc’h et de la Baie d’Audierne).
Les tailleurs-brodeurs étaient nombreux sur le territoire. C’est en grande partie à cette puissante corporation de métier qu’on doit le langaj chon. Réservé aux hommes, il n’a donc pas été parlé dans les ateliers en ville, puisque les femmes y travaillaient également.
Très peu de mots sont de pures inventions. C e sont majo ritairement des mots d’emprunt à d’autres langues et plus particulièrement au français. Ils sont inspirés du français familier, comme par exemple, teun pour thune, ou tout simplement du langage courant : jambetenn, pitibouche, soafenn, vilajenn, tetenn… Si quelques termes semblent d’origine anglaise - charleston, koltar - de nombreux mots sont d’origine bretonne mais détournés de leur sens d’origine. Il est parfois difficile de faire la différence entre du langaj chon et du breton local.
Petit à petit, à cause du déclin de la broderie et la diminution du nombre de locuteurs, le langaj chon va lui aussi perdre du terrain pour complètement disparaître aujourd’hui.
Ressources
Principaux collecteurs
• Musée Bigouden
• Laurent Bigot
•Jean-Michel Le Boulanger et Serge Duigou
• Cercle celtique Ar Vro Vigoudenn
Bibliographie
• Cambry Jacques, Voyage dans le Finistère, ou état
de ce département en 1794-1795, Paris, Librairie du
cercle social, an VII (1799)
• Duigou Serge et Le Boulanger Jean-Michel, Histoire
du Pays bigouden, éditions Palantines, 2002
• Guilcher Jean-Michel, La tradition populaire de
danse en basse-Bretagne, éditions Chasse-Marée /
Armen, 1995
• Flaubert Gustave, Par les champs et par les grèves,
G. Charpentier et Cie, éditeurs, 1886
• Puig de Ritalongi Gabriel, Les Bigoudens de Pontl’Abbé
et les pêcheurs de Penmarc’h et de la baie
d’Audierne, éditions Libaros, 1894
Discographie
• Pays bigouden - Sonneurs et chanteurs traditionnels,
Dastum Bro Gerne / Dastum, référence 20022
• Les Archives de la Mission de Folklore Musical en
Basse Bretagne de 1939 par Claudie Marcel-Dubois,
François Falc’hun, Jeannine Auboyer, éditées
et présentées par Marie-Barbara Le Gonidec, Paris-
Rennes, CTHS-Dastum, 2009, 448 p., DVD
Carte postale de l’église de Loctudy, éditions E. Hamonic. Collection Musée de Bretagne
Ressources vidéos
• Grandes fêtes des reine de Cornouaille, René Arcy-Hennery, 1923 : https://www.cinematheque-bretagne.bzh/Base-documentaire-Grandes-f%C3%83%C2%AAtes-des-reines-de-Cornouaille-426-7333-0-1.html?ref=0852f1e51b043ef36e7f20e1d1ddd3ba - 13’42 : Danse bretonne par « Les fins danseurs de Plozévet »
• Mariage, danses et pardon Bigouden, André Bogrand, vers 1930 : https://www.cinematheque-bretagne.bzh/Base-documentaire-Mariage_-danses-et-pardon-Bigouden-426-12743-0-1.html?ref=77595e4bef338a8897a33c9def26834f - 0’30 : gavotte lors d’un mariage
• Mission Basse-Bretagne MNATP, Plogastel-Saint-Germain, 1939 : https://youtu.be/nPKfeUYkrdk?t=964
• Kermesse Lababan Plogastel, Jean-Marie Bosser,1955 : https://www.cinematheque-bretagne.bzh/Base-documentaire-Kermesse-Lababan-Plogastel-426-7408-0-1.html?ref=db0d8db621205ff500250aa4f15b0e51 - Troisième et quatrième séquences de danse
• Mariages, Jean-Marie Bosser, vers 1960 : https://www.cinematheque-bretagne.bzh/Base-documentaire-Mariages-426-7426-0-2.html?ref=77595e4bef338a8897a33c9def26834f - 29’37
• Collectages de Georges Paugam, vers 1975-80 : Gavotte du Guilvinec : https://www.cinematheque-bretagne.bzh/Base-documentaire-D%C3%83_monstration-d-une-gavotte-bigouden-%7Bmode-du-Guilvinec%7D-426-7167-0-1.html?ref=59535f9835f817c95e54257595a89c66
• Gavotte du Guilvinec (2) : https://www.cinematheque-bretagne.bzh/Base-documentaire-Documents-sur-la-gavotte-Bigouden-%7Bmode-du-Guilvinec%7D-426-5269-0-1.html?ref=59535f9835f817c95e54257595a89c66
• Gavotte de Plovan : https://www.cinematheque-bretagne.bzh/Base-documentaire-Gavotte-Bigouden-%C3%83%C2%A0-Plovan-426-5270-0-1.html?ref=59535f9835f817c95e54257595a89c66
• Collectages Jean-Michel Guilcher, 1948
Remerciements
• Régine Barbot : coordinatrice du projet et relectrice
Fillettes de Pont-l’Abbé, par Émile-Joachim-Constant Puyo vers 1905 - 1906. Collection Musée de Bretagne