Fiche de danse
Ridée de Saint-
Gildas de Rhuys
Terroir
Pays de Vannes - Pays de Rhuys
Vidéos et musiques
Rédacteurs
Cette fiche a été rédigée en septembre 2016 par Jacqueline Lecaudey-Le Guen.
La confédération Kenleur a désigné Sunniva Lecaudey comme référente de cette danse pour le Répertoire Commun.
Famille de danses
Branle simple
Structure de la danse
Danse unique
Accompagnement traditionnel
Chant
Biniou/Bombarde
Accordéon
Forme de la danse
Noce à Port Navalo.
Collection Cartopole de Baud
Situation géographique et historique
La presqu’île de Rhuys se situe au sud de Vannes entre Golfe et Océan. Le terroir de Rhuys correspond au canton de Sarzeau et comprend les communes de Sarzeau, Arzon, Saint-Gildas-de-Rhuys, Le Tour du Parc, Saint-Armel, ainsi que les îles faisant partie également de leur territoire communal : l’île d’Arz et l’île aux Moines. Autrefois, on entrait dans la presqu’île en passant le pont de Noyalo. La limite de la Presqu’île est plus floue entre la commune de Surzur et celle de Sarzeau-est. Cependant, on considère la commune de Surzur comme étant dans les terres, c’est-à-dire hors presqu’île. Deux origines possibles sont connues pour expliquer le nom de Rhuys :
- Rhoé-Inis (île royale). Origine qui remonterait à l’époque à laquelle Vannes et une partie de sa région dont la presqu’île de Rhuys appartenaient aux rois francs. La presqu’île de Rhuys a été appelée « Île de Rhuys » jusqu’à la Révolution au moins. Le mot de Rhuys peut venir encore de sa possession par les rois bretons. Quoiqu’il en soit, au VIe siècle, le pays actuel de Saint-Gildas-de-Rhuys est ainsi appelé : « Reuvisii pagus mons et castrum in monte » (Dom Morice).
- Er Huiz (la truie). Animal fabuleux de la mythologie celtique. On retrouve le village de Penvins (Pen Huiz) sur la côte sud de la presqu’île. En face de la pointe de Penvins, les cartes marines mentionnent les roches de la Truie et le Tourc’h, qui signifie verrat en breton.
Informateurs, témoignages et transmission
- Yann-Fañch L’Henoret, La Pointe du Rhuault
- Marie-Ange Le Didroux, Job Le Lay, Kerbigot
- Marcel Le Guen, Gisèle Guibert, Saint-Gildas/La Pointe du Rhuault
- Marie Pilet, Suscinio
- Séraphine Quitté, Kerguet
- Henri Guillo, Landrezac
- Joséphine et Gaït Le Ridant, Landrezac
- Rassemblement des anciens de Saint-Gildas en 1970
Occasion de danse
Autrefois, comme partout en Bretagne, toute occasion était bonne pour danser : noces bien sûr, mais aussi fêtes locales, 14 juillet, feu de la Saint-Jean… On ne dansait que rarement sur les lieux de pardon. Les festoù-noz n’existaient pas, seules les veillées étaient pratiquées en pays vannetais. Celles-ci étaient consacrées surtout aux jeux et aux chants. Au cours des années 1970, on dansait encore à l’occasion de noces, certaines kermesses, réunions de quartier et du troisième âge, et jusqu’au début des années 2000 dans les fêtes de « clubs des anciens ». L’occasion fait le larron !
Origine et famille de danse
Dans son traité paru en 1589, l’Orchésographie, Thoineau Arbeau décrit une cinquantaine de branles de la Renaissance, trois seulement peuvent concerner comme antécédents anciens les danses de Bretagne. Celui qui qui nous intéresse ici pour la ridée de Gildas est le branle simple. Dès le premier regard à la description de Thoineau Arbeau, on est frappé par la similitude avec l’hanter-dro. Ce branle simple a d’ailleurs essaimé principalement sur le pourtour européen de la Méditerranée, on retrouve en Sardaigne notamment une danse qui est la réplique exacte de l’hanter-dro. L’aire d’extension de l’hanter-dro est celui de L’en dro, c’est-à dire une grande partie du pays vannetais, sachant qu’il est resté plus en faveur à l’ouest qu’à l’est de ce terroir. L’hanter-dro a commencé à tomber en désuétude dès le premier tiers du XIXe siècle, voici que qu’écrit Jean-Michel Guilcher : « La dernière trace très certaine de son existence antérieure en ces régions est fournie par le témoignage d’un informateur de Sarzeau, qui, vers 1895, voyait son grand-père danser le tricot, aujourd’hui disparu. » Le branle simple et l’hanter-dro présentent des formules à six temps (il vaut mieux dire 4+2 temps, « double à gaulche, simple à droict »). La filiation avec les ridées puis les laridés est évidente, la ridée dite à six temps, est directement issue de cet hanter-dro, l’ayant d’ailleurs en partie supplanté.
On explique l’engouement qu’a suscité la ridée dès la fin du XIXe siècle par la présence de son mouvement de bras, ce qui est une grande nouveauté à l’époque, on a d’ailleurs très souvent défini les différentes ridées puis les laridés comme étant surtout des « danses de bras ».
Environs de Vannes,
Port Navalo, en place pour la danse. Collection Jacqueline Lecaudey-Le Guen
Forme et structure de la danse
Elle est toujours dansée en ronde tournant dans le sens solaire. Elle ne s’ouvre jamais.
Tenue et mouvement des bras
Position du corps par rapport au centre de la ronde
Temps 1 à 3 : Tout le corps est orienté de trois quarts à gauche, avec un retour vers le centre pour le tps 4.
Temps 4-5-6 : Face au centre.
Mouvement des bras
Les danseurs se tiennent par les petits doigts. Les bras ne sont jamais tendus.
Temps 1 à 3 : Bras semis fléchis, un balancement par temps.
Temps 4 : Remontée des bras, mains à hauteur des oreilles dans le plan vertical. Ouverture des bras en « W », coudes vers le bas à hauteur de poitrine.
Temps 4 et 5 : Remontée des bras accompagnant la pose du pied droit devant, sans mouvement de suspension volontaire des bras marquant les temps 4-5.
Temps 5 : Redescente des bras avec projection très légèrement remontante et impulsion sans raideur.
Temps 6 : Les bras redescendent en arrière et repartent en avant pour le temps 1 de la formule suivante. Ils dépassent le plan du corps sans exagération.
Technique de pas
Temps 1 à 3 : Marche commencée du pied G vers la gauche, 1 pas par temps. On observe cependant qu’au temps 3, le pied G ne reste pas strictement à G, mais suit le mouvement du corps qui commence à s’orienter vers le centre.
Temps 4 et 5 : Appui pied G, et appui fictif du pied D qui se pose devant à plat, sans prise d’appui. Distance : maximum un pied.
Temps 6 : Appui pied D en arrière, maximum un pied.
Démarrage de la danse
Dans le cas de la danse menée au chant, il n’y a pas de règle absolue. Parfois le départ est chaotique, jusqu’à ce que les bras des danseurs s’accordent. Le meneur (chanteur), donne le signal du départ, un, deux, trois…
Le départ peut être aussi donné bras ballants en les balançant, ou encore bras levés (comme dans la position aux temps 4-5 de la danse), que l’on abaisse ensemble au signal du meneur avant le temps 1.
Style
Ce qui fait l’originalité de la ridée de Saint-Gildas de Rhuys est sa lenteur comparée aux autres ridées six temps, et surtout à celle de Sarzeau dont le tempo est de 140. Le pas marché, son immobilisation (phase musicale avec des notes tenues), le décalage du pas par moments, l’ample dessin gestuel des bras à l’énergie contenue, l’économie des mouvements, sont autant de détails qui en accentuent la sobriété et en font une ridée remarquable par son allure tranquille et dégagée, une danse harmonieusement atypique.
Collection Jacqueline Lecaudey-Le Guen
Accompagnement musical
Ridée lente : 85/90 à la noire (beaucoup plus lente qu’à Sarzeau). C’est en chantant qu’on dansait dans toutes les circonstances ordinaires de la vie (au son de la gueule). Le chant est alterné entre un ou des solistes qui se relaient et le chœur des danseurs, ce n’est pas du kan ha diskan. Le répertoire était en français, en breton, ou mixte. Les chants à danser n’avaient pas d’originalité locale : ils étaient généralement connus un peu partout dans les terroirs voisins, empruntés et digérés à la mode locale. Seuls le rythme, le style, faisaient la différence. On a dansé également au son du biniou et de la bombarde mais jusqu’à la dernière guerre, seules les familles aisées retenaient des sonneurs pour les mariages. L’accordéon diatonique a été employé également. N’étant pas rare de trouver un marin sachant jouer de l’harmonica, cet instrument avait cours également, mais uniquement dans les petites réunions de village.
Derrière de chez mon père
Derrière de chez mon père / Draw draw (bis)
Un oranger l’y a Nanette / Un oranger l’y a Nana (bis)
Il y’a autant d’oranges / Que de feuilles il y a
La belle d’mande à son père / Quand on les cueillera
Quand elles seront mures / La saison en sera
La belle prend une échelle / Un panier à son bras
Elle cueilli les plus mures / Les vertes elle les laissa
Elle s’en alla les vendre / Au marché d’Saint-Gildas
Par le chemin s’en passe / Le fils d’un avocat
Qui lui demandit belle / Que faites-vous donc là
Monsieur ce sont des oranges / Ne vous en faut-il pas
Mettez m’en trois douzaines / Mon père vous les paiera
C’est dans 10 ans il n’en aura plus d’autres
C’est dans 10 ans il n’en aura plus d’autres (bis)
Il n’y en aura plus d’autres, la voir
Lui parler d’amourette le soir
C’est dans 9 ans…
C’est dans 8 ans...
Collection Jacqueline Lecaudey-Le Guen
CD de référence
Airs collectés lors d’une réunion d’anciens à Saint-Gildas de Rhuys en 1965, enregistrés en 2016. Couple kozh : Leïf Lecaudey au biniou, et Jérôme Veron à la bombarde. Accordéon diatonique : Loïg Chéron. Chant : Doulig (meneuse : Jacqueline Lecaudey-Le Guen, choeur : Irmine Lecaudey, Sébastien Bruchet, Leïf Lecaudey, Rachel Lecaudey, Sunniva Lecaudey, Jérôme Veron, Neven Bruchet, Sigrid Lecaudey, Maëlle Raguenes). Prise de son : Milin ar pont en Pluvigner par Sébastien Bruchet.
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Derrière de chez mon père - chant
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Derrière de chez mon père - couple kozh
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Derrière de chez mon père - accordéon
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Il n’en viendra plus d’autres - chant
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Il n’en viendra plus d’autres - couple kozh
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Il n’en viendra plus d’autres - accordéon
Mode vestimentaire
Les îles du Golfe du Morbihan et la Presqu’île de Rhuys, possèdent une mode vestimentaire originale. Au milieu de l’ensemble du vannetais bretonnant où la «mode d’Auray» domine, elle fait preuve d’une certaine originalité tant par le costume que par ses danses traditionnelles. La rare élégance, de ces femmes de paysans, de marins, de capitaines, d’armateurs, n’est pas une légende.
Couple de mariés, Garçon et Fille d'honneur.
Collection Jacqueline Lecaudey-Le Guen
Leur garde-robe révèle certes le bon goût, mais aussi les possibilités financières de ces «patriciennes de la mer». Dans ce pays de navigateurs, les femmes ont bénéficié d’une aisance que n’ont pas toujours connue les « paysannes ». Ainsi, les accessoires, sont souvent des pièces luxueuses, qui pouvaient valoir à leur époque, le prix d’un cheval… Pourtant la coiffe à la mode d’Auray a pénétré la presqu’île, dans les années 1930, elle a gagné Saint-Armel et s’est diffusée à Saint-Colombier. Les femmes ont porté le costume plus tardivement, jusqu’à la deuxième guerre mondiale, les vieilles femmes elles, sont restées en bonnet tous les jours, et porté la coiffe pour les fêtes, Jusque dans les années 2000. Dans les îles comme dans la Presqu’île, la robe des femmes n’a jamais été raccourcie.
Le costume «paysan», malgré ce que l’on peut lire dans tous les ouvrages de référence sur les costumes de Bretagne, a été porté par les hommes de Rhuys, comme partout ailleurs. Il est très semblable à celui de Vannes. Le chapeau à guides est un peu particulier, il en a été trouvé plusieurs avec sous le ruban de velours, des lacets terminés par des petits pompons. Pour confirmer l’existence du costume «paysans» des hommes, Il existe beaucoup d’iconographies et même s’ils se sont raréfiés au lendemain des deux dernières guerres, ils ont été portés jusque dans les années 40. Les hommes étaient enterrés avec leur «grand costume». Les habitants de la presqu’île de Rhuys étaient marins ou paysans, très souvent les deux. Les marins du commerce et les pêcheurs ne portaient pas le costume paysan, même si leur femme elle, le portait. Ils portaient les vêtements communs à tous les marins des côtes de Bretagne et d’ailleurs.
Collection Jacqueline Lecaudey-Le Guen
collection Jacqueline Lecaudey-Le Guen
Ressources
- Abbé Briel - Saint Gildas, abbé de Rhuys, patron de la paroisse d’Auray - 1908
- Abbé Luco - Histoire de Saint Gildas de Rhuys - Imp. L Galles - 1869
- Benoît Odile - Rhuys, presqu’île de beauté - Henri Michel - 1997
- Bertho Catherine - La presqu’île de Rhuys au XVIIIe siècle : la terre, la mer, les hommes en Basse-Bretagne à la fin de l’Ancien Régime - Thèse
- Bodard Bruno - Mieux connaître le Golfe du Morbihan - 1996
- Buffet H.-F. - En Bretagne Morbihannaise - B. Arthaud - 1947
- Collectif - De la crise de la sardine à l’âge d’or de la dentelle - Ouest-France - 2003
- Collectif - Golfe du Morbihan et ile-aux-moines à travers les cartes postales - LGL
- Collectif - Les racines de l’avenir - Ecomusée de Saint-Dégan - 1994
- Collectif - Morbihan, encyclopédie - Bonneton - 2000
- Collectif - Saint-Gildas-de-Rhuys - J. de Lamarzelle
- Collectif - Suscinio résidence des ducs de Bretagne, musée d’art et d’histoire, presqu’île de Rhuys - Conseil Général du Morbihan - 1992
- Corlobé H., Vapillon J. - Golfe du Morbihan la petite merveille - Goubault Imp.
- Couëdel J.-C. - Arzon mon pays - Association Au Vent de l’Histoire
- Craneguy M.-A. - Histoires des vignes en Rhuys - Association Au Vent de l’Histoire
- Creston René-Yves - Le costume breton - Coop Breizh
- De Beaulieu F. - Les îles du Golfe - Ouest-France - 1991
- De Chalons Pierre - Dictionnaire breton-français du diocèse de Vannes - Oberthur Rennes - 1895
- De Closmadeuc Passille et Gustave - Découverte de Bernon (près Arzon), presqu’île de Rhuys (Morbihan) - Alexandre Bertrand - 1894
- De Galzain Michel - En passant par le Golfe du Morbihan - Conseil Général du Morbihan - 1971
- De Galzain Michel - Le Golfe du Morbihan - E.T Saint Joseph - 1957
- De Galzain Michel - Mare nostrum. regards sur le Golfe du Morbihan - Imp de Bretagne - 1948
- De Galzain Michel - Saint Gildas de Rhuys
- De Kerpenhir Jean - Anna Calvé, impressions du Golfe du Morbihan et des environs - Argo - 1928
- De Lesdain F. - La presqu’île de Rhuys - Jean-Paul Gisserot - 1993
- Dervenn Claude - Vannes et le Golfe du Morbihan - 1966
- Dervenn Claude et Le Doaré Dominique - Vannes et le Golfe du Morbihan, la presqu’île de Rhuys - Jos - 1978
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- Du P. G. - Château de Suscinio - La Découvrance - 2004
- Ernault Emile - Le dialecte de Sarzeau - Revue Celtique - 1876-77-78
- Frélaut Bertrand - Il y a 1 siècle… La Bretagne - Ouest-France
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- Mauffret Yvon - Rhuys, chronique d’une Presqu’île T.2 - Thébert J.
- Mauricet J.-J. et Alphonse - L’île-aux-moines, ses mœurs et ses habitants - 1878
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- Moingeon G. - Le passage de l’île aux Moines - Cheminements - 2003
- Pontivy Morbihan - Costumes bretons, dilhad Breizh - exposition - 1993 Régent Adrien - La presqu’île de Rhuys : histoire, légendes, description - Lafolye - 1982
- Richard Jean - Au pays des Sinagots : souvenirs d’un marin de la presqu’île - La Découvrance - 1998
- Rio Bernard - Vannes et le Golfe du Morbihan - photographies de Yves Senga - 1994
- Rollandeau Yannick - Les îles de Gavrinis et d’Er Lannic et leurs monuments - 1965
- Rousseau Julien - Un saint breton authentique : Saint Goustan, moine de Rhuys et de Beauvoir (974-1040) - Imprimerie Moderne - 1940
- Tattevin L., Le Doaré D. - Le golfe du Morbihan - Jos - 1988
- Thomas-Lacroix P. - Vannes et son golfe - Imp. Simon Rennes - 2012
- Toureaux G. - Penvins - compte d’auteur - 1981
- Vidal P. - La presqu’île de Rhuys - Ouest-France
Remerciements
- Rédaction de la fiche de danse : Jacqueline Lecaudey-Le Guen et Sunniva Lecaudey
- Ecriture de la formule d’appuis : Jacqueline Lecaudey-Le Guen
- Rédaction de la partie « Origine et famille de danse » et relecture de la fiche : Michel Guillerme
- Cartopole de Baud pour une partie des images
- Remerciements particuliers à ma mère et à toutes les personnes qu’elle m’a fait rencontrer, qui m’ont tant apporté.